La descendance d’Augustin Thierry n’est pas directe, puisqu’il n’a pas eu d’enfants.
Augustin Thierry et sa famille
Jacques Thierry (1763-1836) et Catherine Leroux (1771-1829) ont eu 3 enfants :
- Augustin Thierry (1795-1856), marié le 6 novembre 1831 à Julie de Quérangal (1802-1844), sans enfants.
- Amédée Thierry (1797-1873), marié à Anne Gabrielle Breschet (1815-1893) – le couple est séparé de corps et de biensdepuis le 14 mars 1860.
- Gilbert Augustin Thierry (1840-1915), marié à Marie Agache (1845-1921)
- Jacques Thierry (1843-1891), marié à Gabrielle Picard (1858-?).
- Adélaïde Thierry (1802-1878), mariée à Charles Étève (1798- ?)
- Marie Cornélie Étève
- Georges Amédée Étève
- Clarisse Augustine Étève
- Antoinette Julie Étève, mariée à Antoine Gignoux[1]M. et Mme Gignoux sont présents aux festivités du centenaire de 1895. Antoinette Julie Étève est venue en effet habiter auprès d’Augustin Thierry après la mort de sa femme, en 1844. Dans … Continue reading
- Camille Charlotte Étève, mariée à Alfred Chausson
Gilbert Augustin Thierry se fait appeler, après la mort de son père, Gilbert Augustin-Thierry, tout comme sa descendance.
Gilbert Augustin Thierry et Marie Agache ont eu 2 enfants :
- Augustin Augustin-Thierry 1869-1956), marié à Madeleine ? (1883-1954)
- Baptistine Augustin-Thierry (adoptée), sans enfants.
- Jacqueline Augustin-Thierry (1881- ?), marié à Robert Galoppe (1877-1938)
- Gilberte Galoppe (1901-1994)
- Philippe Galoppe (1903-1966)
- Françoise Galoppe (1904-?)
La branche des Augustin-Thierry s’est éteinte. Il reste à voir s’il y a des descendants du côté des Galoppe, descendants de Gilbert Augustin-Thierry, ou du côté des enfants d’Adélaïde Thierry. Le frère de Gilbert Augustin-Thierry, Jacques Thierry, marié à Gabrielle Picard, a eu un fils, Amédée (1876-1964), sans descendance.
Arbre généalogique des Thierry & Augustin-Thierry (à compléter).
Les tombes familiales, à Blois et à Paris
Notes
↑1 | M. et Mme Gignoux sont présents aux festivités du centenaire de 1895. Antoinette Julie Étève est venue en effet habiter auprès d’Augustin Thierry après la mort de sa femme, en 1844. Dans les « cahiers de la chambre », elle est nommée Julie également. |
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